Biographie :
Après la défense de sa thèse de doctorat en minéralogie, Simon intègre en 1996 le Musée national d’histoire naturelle de Luxembourg (MnhnL) et prend en mains la gestion des collections de la Section Géologie / Minéralogie. Rapidement, il met en place deux axes principaux de recherche : l’étude détaillée des anciens sites miniers luxembourgeois et l’étude des espèces minéralogiques rares.
Au Luxembourg, ses publications montrent que plus de 70 nouvelles occurrences ont été découvertes depuis 1996. Avec comme point d’orgue, la découverte et la description de la Luxembourgite en 2018.
A l’étranger, de nombreuses missions de terrain au Brésil, en RDC ou au Mozambique amènent à la collecte d’échantillons d’exception et à de nombreuses publications ; en plus de la découverte et la description des nouvelles espèces suivantes : la Qingheiite-(Fe2+) en 2009 au Brésil, la Wilancookite en 2015 au Brésil, la Lepersonnite-(Nd) en 2021 et la Pendevilleite-(Y) en 2022 en RDC ; et finalement l’Yttrotungstite-(Nd) en 2023 au Rwanda.
La découverte de nouvelles espèces est un must pour un chercheur et permet aussi une reconnaissance du musée d’histoire naturelle du Luxembourg au niveau international.
Au Luxembourg, ses publications montrent que plus de 70 nouvelles occurrences ont été découvertes depuis 1996. Avec comme point d’orgue, la découverte et la description de la Luxembourgite en 2018.
A l’étranger, de nombreuses missions de terrain au Brésil, en RDC ou au Mozambique amènent à la collecte d’échantillons d’exception et à de nombreuses publications ; en plus de la découverte et la description des nouvelles espèces suivantes : la Qingheiite-(Fe2+) en 2009 au Brésil, la Wilancookite en 2015 au Brésil, la Lepersonnite-(Nd) en 2021 et la Pendevilleite-(Y) en 2022 en RDC ; et finalement l’Yttrotungstite-(Nd) en 2023 au Rwanda.
La découverte de nouvelles espèces est un must pour un chercheur et permet aussi une reconnaissance du musée d’histoire naturelle du Luxembourg au niveau international.